Antoine Doinel a connu une jeunesse mouvementée au cours de laquelle il a fait les « quatre cents coups ». Lorsque l'action de baisers volés commence, Antoine quitte une prison militaire à l'issue d'un service militaire agité. Il retrouve la vie civile et, naturellement, il cherche du travail. Il sera tour à tour veilleur de nuit, dépanneur de télévision, manutentionnaire et aussi
« périscope ».
Prix Georges Méliès 1968